De plus en plus de cas de dépression sont constatés parmi les forces de l’ordre. Des centaines d’arrêt de travail sont déposés chaque jour.
D’après des sources syndicales, plus de 50% des policiers ont déjà connu un arrêt de travail pour dépression ou burn out depuis le début de l’année 2020. Ils témoignent d’un manque de reconnaissance et de soutien de la hiérarchie. Pour les psychologues les policiers sont soumis à trop de contraintes.
Perte de sommeil, larmes, pensées suicidaires… Marc (son prénom a été modifié), bientôt 30 ans de police à Bordeaux (Gironde), a été victime d’un burn-out. Il témoigne de ses douleurs profondes, mentales et émotionnelles.
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