Au premier abord, cette question pourrait paraitre saugrenue, voire un peu provocatrice, tant nous avons parlé de ce fléau depuis des mois, et surtout pendant la pandémie.
Bien sûr le monde du travail est en pleine évolution. Dans certains domaines, il est devenu extrement compétitif poussant bien souvent les collaborateurs à se surpasser. Dans d’autres, il a fallu gérer des changements d’organisations de travail, des surcharges incessantes, et parfois avec des moyens limités, créant ainsi des contextes très anxiogènes.
Mais nous le savons, il est toujours plus ardu de faire ressortir un lien de causalité entre des évènements concommitants, surtout lorsque l’on parle d’un sujet aussi profond émotionnellement parlant, et que, fort heureusement, la parole s’est indéniablement libérée ces derniers mois.
Et si la pandémie et le ras-le-bol généralisé qu’elle a provoquée ces derniers mois n’avait pas tout simplement pousser de nombreuses personnes vers un état de dépression et de fatigue, différent de celui provoqué par l’épuisement professionel.
Alors, la question posée dans cet article peut apparaitre légitime.. finalement.
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