Nous connaissons toutes et tous la force des mots. Ils peuvent nous faire du bien mais à l’inverse ils peuvent faire très mal.
A la suite de nos burnouts, nous avons utilisé les mots pour parler de nos maux, de cette souffrance au travail et ces mois éloignés de la sphère professionnelle. Cela nous a semblé comme une évidence et nous a permis de témoigner, partager et ainsi aider les autres. Très vite notre mission s’est avérée comme une évidence, parler du burnout en toute bienveillance pour briser le tabou.
Alors que la rentrée a sonné pour beaucoup, nous relayons cet article de nos amies de l’Optimisme.pro qui nous proposent un best-of de ce qu’il ne faut surtout pas dire à une personne en souffrance et arrêtée pour épuisement professionnel.
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